Oran, 1961. Au lendemain du putsch raté des généraux, l’Algérie s’enfonce dans ce que certains refusent d’appeler une guerre. C’est pourtant bien une guerre qui ensanglante les rues du pays, d’Alger à Oran, une guerre sans pitié que se livrent les indépendantistes du FLN et les hommes du CRA, le Centre de renseignements et d’actions, unité anti-terroriste composée de militaires et de policiers. Et c’est l’un d’eux, Antoine Delarocha, surnommé Le Chat d’Oran, que l’auteur nous propose de suivre dans une course contre la montre effrénée pour déjouer un attentat qui pourrait bien être le plus meurtrier jamais commis de ce côté-ci de la Méditerranée….
INTERVIEW DE GEORGES SALINAS
Quarante-huit heures pour éviter un massacre ! Quarante-huit heures à couper le souffle au cours desquelles Le Chat d’Oran va devoir non seulement sauver sa peau, mais aussi celle de ceux qui lui sont les plus chers : sa femme et ses trois enfants que ses ennemis se sont juré d’assassiner. Finalement, comme des milliers d’autres pieds-noirs, il devra choisir entre… « la valise ou le cercueil ». Ce roman, peinture fidèle d’une société à jamais disparue, décrit avec une précision chirurgicale les coulisses d’une histoire inspirée de faits et de personnages réels où se mêlent l’action, la politique et l’amour.