L’atmosphère est lourde à Ouessant : deux femmes ont été retrouvées mortes et une troisième a disparu. Ces affaires sont-elles liées ? Elles font obstacle, en tout cas, à l’amour qu’éprouve la jeune Astrid pour le mélancolique Erwan de Saint-Hilaire, qui cache un secret pesant. Pour que ses sentiments triomphent, Astrid n’aura d’autre choix que de résoudre l’énigme.
Ouessant : une île balayée par des vents contraires. Astrid, 23 ans, dessinatrice de bandes dessinées, vient de s’y installer dans la maison que lui a léguée son grand-père. Elle y retrouve Erwan, son amour d’adolescence, le séduisant « seigneur » de l’île, qui vit dans un manoir non loin de sa modeste demeure. Bonheur, il ne l’a jamais oubliée. Mais, sur leur amour, plane une ombre, celle de Marthe, l’ancienne gouvernante du manoir, qui a décidé de tout faire pour les séparer. Y parviendra-t-elle ?
Janine Boissard, une des romancières françaises les plus populaires, est l’auteur de dizaines de romans qui ont séduit plusieurs générations de lecteurs.
TONY MARLOW dernier opus en date « FIRST RIDE » 12 titres
Un album retour aux sources du rock psychédélique de la fin des années 60, début 70. Les belles heures de Jimi Hendrix, The Cream ou Johnny Winther….Ces artistes ou groupes ont inspiré Tony Marlow autant sure les reprises ou les créations, revisitées. Pour mettre en son tout cela, Tony Marlow (chant et Guitare) Amine Leroy (contrebasse et Chœurs) et Fred Kolinski (batterie, percussions et chœurs) et Alicia F en guest qui apporte une touche féminine.
On y trouve la reprise de “Hey Joe” de Billy Roberts, version française écrite par Gilles Thibaut chantée par Johnny Hallyday
Pour rester avec Hendrix, on peut signaler une version française de “Purple Haze” de l’album Experience (1966), sous le titre “Vapeur Mauve”. Et une compo hommage avec Jimi Freedom…
« FIRST RIDE » est une belle balade musicale dans ces rocks de la fin des sixties, début des seventies. Un souffle de liberté qui fait du bien dans cette période tourmentée.
Comme tous les spectacles, la tournée « STARS 80 » réunissant Sabrina – Jean-Luc Lahaye – Zouk Machine, Christiane – Emile et Images, Emile, Mario et Jean-Louis – Début de Soirée, William – Joniece Jamison – Patrick Hernandez – Plastic Bertrand – Jean-Pierre Mader – Cookie Dingler – Phil Barney – Alec Mansion – Laroche Valmont est à l’arrêt à cause de la COVID 19.
Laroche Valmont évoque la situation de la tournée et les perspectives à et revient sur son Best Of « T’as le look Coco »‘ 36 versions inattendues qui font le tour du Monde
INTERVIEW DE LAROCHE VALMONT POUR MUSICBOX Web RADIO
Plus de 10 ans de succès et 4 500 000 spectateurs, ça se fête ! Les artistes emblématiques de Stars 80 annoncent une nouvelle tournée commune. Un nombre impressionnant de chanteurs de folie seront de la fête pour célébrer cette décennie 80.
Auteur star, Raphaëlle Giordano revient chez Plon avec un roman réjouissant. Après le best-seller Cupidon a des ailes en carton, l’auteur du phénomène Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une surprend et séduit une nouvelle fois. Au meilleur d’elle-même.
» Je m’appelle Basile. J’ai commencé ma vie en montrant ma lune. Est-ce pour cela que j’ai toujours eu l’impression de venir d’une autre planète ? Je n’ai pourtant pas compris tout de suite de quel bois j’étais fait. Peut-être plus un bois de Gepetto que de meuble Ikea. »
Basile, inventeur, agitateur de neurones au génie décalé, nous embarque dans un univers poético-artistique qui chatouille l’esprit et le sort des chemins étriqués du conformisme. De retour à Mont-Venus, il décide d’ouvrir un commerce du troisième type : une boutique d’objets provocateurs. D’émotions, de sensations, de réflexion. Une boutique » comportementaliste « , des créations qui titillent l’imagination, la créativité, et poussent l’esprit à s’éveiller à un mode de pensée plus audacieux ! Le nom de ce lieu pas comme les autres ? Le Bazar du zèbre à pois….
Le petit parisien en vacance à la campagne est émerveillé par la nature…C’est peut-être la nature qui lui aura donné ses premières notes d’émotion. Il écoute alors toutes sortes de musiques, du classique au jazz et découvre Presley. Il a 12 ans il rêve d’être le King !
Une première guitare folk et il commence seul à pincer les cordes et à lire les tablatures, apprendre quelques accords. Il aurait pu en rester là, mais une rencontre incroyable avec le guitariste de Michel Polnareff, Jacky Limage est une révélation. Désormais la guitare fera partie de sa vie.
En 1976, Jacques Higelin le remarque dans au studio D’Hérouville et lui demande de rejoindre ses musiciens. Le début d’une longue histoire. Il explorera toutes les musiques, lui le rocker et country man, folk et jazz, il partira sur les routes musicales hispaniques, tzigane, Africaine, les Andes…
En country, Jeff Beck a quelques références qui l’inspire, comme Ray Cooder et Mark Knopfler.
Il a accompagné Vincent Absil, Buzy, Louis Chedid, Christian Delagrange, Diane Dufresne, Brigitte Fontaine, Pierre Groscolas, Nina Hagen, Jacques Higelein Khaled, Robert Lauri, Bernard Lavilliers, Eric Vincent, Gérard Manset, Catherine Ribeiro, Jean Sommer, Vic Laurens (Les Vautours), Jean Veidly ( Les Pirates) sans oublier Renaud
Avec ce “On Route 66”, il nous offre un voyage bien au-delà de cette route mythique, un parcours dans son univers musical des années 40 aux années 70 avec la fraîcheur de l’improvisation qui lui est chère.
Bonne route avec Pierre Chéreze ! Un conseil, faites le plein avant car vous n’aurez pas envie de vous arrêter.
« Les cliniques spécialisées, je connais. Je m’y suis frotté comme on s’arrache la peau, à vif. Les hôpitaux psychiatriques sont pleins de gens qui ont baissé les bras, qui fument une cigarette sur un banc, le regard vide, les épaules tombantes. J’ai été un parmi eux. »
Une dépression ne ressemble pas à une autre. Gilles Paris est tombé huit fois et, huit fois, s’est relevé. Dans ce récit où il ne s’épargne pas, l’auteur tente de comprendre l’origine de cette mélancolie qui l’a tenaillé pendant plus de trente ans. Une histoire de famille, un divorce, la violence du père. Il y a l’écriture aussi, qui soigne autant qu’elle appelle le vide après la publication de chacun de ses romans. Peut-être fallait-il cesser de se cacher derrière les personnages de fiction pour, enfin, connaître la délivrance. «Ce ne sont pas les épreuves qui comptent mais ce qu’on en fait », écrit-il. Avec ce témoignage tout en clair-obscur, en posant des mots sur sa souffrance, l’écrivain nous offre un récit à l’issue lumineuse. Parce qu’il n’existe pas d’ombre sans lumière. Il suffit de la trouver.
Connue, entre autres comme James Bond Girl («MOONRAKER» avec Sir Roger MOORE),
IRKA BOCHENKO est également auteure, compositrice, interprète.
Elle a œuvré notamment pour Garou, Tina Arena, Mireille Mathieu, Alexandre Chassagnac,Séverine Ferrer, les L5, Patrick Fiori, Pierre Santini (adaptation française de Paolo Conte)…
Son dernier titre «
Dis, c’est comment le paradis» (musique d’Irka sur un texte de Jean
Claude Delorme) dédié à Claude François, n’est pas un hasard…
L’artiste la repère lors d’un concours de beauté. Il la sollicite pour intégrer son agence de mannequin. Une belle porte ouverte sur le monde du showbiz.
À son tour, Irka réalise le rêve de quelqu’un d’autre… En écrivant ces paroles liées au parcours de Claude François, Jean Claude pense immédiatement à elle, qu’il ne connait pas encore. La rencontre se fera par le biais des réseaux sociaux. «
L’occasion de découvrir les différentes talents de Irka Bochenko.
Rappelons qu’en tant que comédienne, on se souvient d’elle dans «
Julie Lescaut» ou encore«les Cordiers, juge et flic»…
Voici un album qui ramène à l’essentiel de la vie : la Nature.
Sarah Eddy s’est inspirée du calendrier Wicca des saisons, issu du chamanisme, du druidisme et des mythologiesgréco-romaine, slave, celtique et nordique. Si elle n’est célébrée que de manière secrète ou confidentielle dans quelques nemeton , mot gaulois qui désigne un sanctuaire, lieu spécifique où les Celtes pratiquaient leur culte, sous la direction de druides, elle semble néanmoins naturelle.
ENTREVUE AVEC SARAH EDDY
A travers les quatre saisons auxquelles la nature malmenée par l’homme résiste comme elle le peut, Sarah Eddy par ses textes nous invite à la réflexion et à la méditation, que ce soit sous un manteau neigeux, devant la flamme d’une bougie, un souffle de vent dans les cheveux, la lumière ou la nuit, la terre ou le soleil. Chaque chanson est une étape sur le chemin de notre vie. Tout est mis en harmonie par une mise en scène musicale aux sonorités relaxantes accompagnées par la voix de cristal de Sarah. Que l’on Croie ou que l’on soit Païen, cet album est le talisman du Bonheur d’une roue qui tourne pour l’éternité afin de nous aider à traverser les épreuves, comme la nature les a traversés depuis des siècles, et que nos ancêtres ont tenté de préserver par les traditions et des rituels . Huit temps dans l’année qui nous offrent de merveilleuses opportunités d’introspection, de création, de connexion, de libération, d’évolution…
Textes Sarah Eddy/Musique Sarah Eddy et Jean-Baptiste Mersiol
Guy Marchand loin des clichés nous offre un joli cadeau avec cet album de souvenirs, comme une caresse au temps d’hier avec son regard d’aujourd’hui. Film en noir et blanc avec des éclats de couleurs, sa voie embrasse les mots, les cajoles, les sublimes… Nostalgie ? il n’aime pas ce mot, alors écoutez sans modération en attendant d’aller le voir sur scène nous espérons très vite car il en a très envie.
Jacques PESSIS : « Un crooner, c’est quelqu’un qui peut arriver sur scène en disant je suis seul, triste et vieux, mais je suis cool ». L’ a r t de bien vivre de Guy Marchand correspond à l’un des titres de cet album en forme d’autoportrait, qui lui ressemble. A travers 11 chansons, il se raconte, en filigrane, avec une tendresse qu’il a souvent dissimulée derrière un faux cynisme. Il n’a jamais cessé de parler d’amour, comme il le dit dans « J’aime », « Hôtel du Nord » et « Éternel amant ». « Chanteur de charme » lui permet d’ajouter qu’à un peu plus de quatre fois 20 ans, un sourire de femme le désarme encore et toujours. « La Passionnata » était déjà très présente dans son cœur, lorsqu’ enfant il dessinait des cœurs au canif, à Belleville, où il préférait déjà les notes de musique à celles de professeurs dont il séchait régulièrement les cours. Il était, en revanche, très présent dans les salles obscures du quartier où il découvrait des stars qui le faisaient rêver, sans imaginer qu’un jour, il deviendrait, lui aussi, un acteur. En revanche, il ne fait pas de cinéma lorsqu’il évoque sa postérité. Dans « Chanteur de charme », il assure qu’il ne restera rien de lui, de ce qu’il appelle sa « musique d’ascenseur ». Lucide, il assure que le vent emporte les partitions. Sauf, lorsque, comme les siennes, elles disposent de bien des atouts pour demeurer dans l’air du temps. Longtemps, longtemps après que l’interprète ait disparu…
Comment un p tit gars né dans un quartier populaire d Alger en 1930, dans une famille heureuse et aimante, va-t-il décider en 1955, sans plus d entre-gent que ça, de « monter » à Paris tenter sa chance ? Doué de talents musicaux comme pas possible, il va devenir, après les galères obligées dans un milieu où la concurrence est rude, l un de nos grands arrangeurs, chefs d orchestre, auteurs-compositeurs. Il nous raconte cette incroyable réussite dans Un pied-noir à Paris (clin d il et référence à l un de ses musiciens préférés, Gershwin). ..