Chanteuse texane/compositrice Martha Fields parcours les scènes de France et d’Europe avec ses chansons et les classiques de la country music des Appalaches au Texas en passant par l’Oklahoma.
Martha a écrit la majorité des chansons. C’est un véritable mélange d’ « Americana » – folk, country, blues et bluegrass –
Martha a le twang qui fait l’esprit country et ses albums sont toujours attendus et accueillis avec bonheur par les amateurs comme par la presse spécialisée.
Né dans le bistrot de ses parents au pied su Sacré-Cœur, Alain Turbanovitch n’a jamais vraiment quitté le village de Montmartre. Cet éternel Poulbot chante, raconte, fait revivre au quotidien l’histoire en chansons de la Butte. Les petits boulots puis taxi de nuit où il rencontre tous les artistes qu’il emmène ici où là, où brillent les lumières du Music-hall. Il raconte dans un livre « Un taxi dans les étoiles » ces rencontres nocturnes qui lui donnent alors envie d’embrasser une carrière artistique. En 1978, il débute sous le nom d’Allain. La vague disco lui portera chance et « Santa Monica » sera un tube. Alain Turban suivra sa route sur des scènes comme l’Olympia, La Cigale, Le casino de Paris et d’autres… De galas en concerts il parcourt la France, la Pologne, le Chili, le Canada, la Polynésie…. L’auteur compositeur écrit aussi pour les autres. S’il pose quelques valises en Ardèche, rend hommage à Jean Ferrat, comme il l’a fait pour Jean Marais et jean Cocteau, il n’oublie pas Montmartre pour autant, créant des spectacles qui racontent l’histoire de la Butte. » La légende de Montmartre »
« Les Amoureux du Sacré Cœur » reviennent avec une émouvante et joyeuse chanson signée Alain Turban rendant hommage à Dalida « Dali…Dalida » qui vivait dans ce quartier de la butte qu’elle aimait tant.
Le couple Sandy LR et François Deblaye est devenu avec la chanson « les amoureux du Sacré-Cœur» un duo emblématique de ce village parisien.
Par leur histoire d’amour crée autour de l’homme en bleu, Michou qui les a réuni et encouragé dans cette démarche artistique, « Les Amoureux du Sacré-Cœur » annoncent un album à venir très prochainement qui racontera à la fois leur histoire, leur amour pour Montmartre comme deux Poulbots qui auraient grandi trop vite pour chanter leur bonheur à partager au pied du Sacré-Cœur. La faute à qui, Rousseau , Voltaire ? Et de là-haut nul doute que la Grande Dalida veille sur eux…
Il y a deux ans, Thomas Breinert sortait son premier album « Lupanar chic » qui avait connu un bon succès. De plus en plus intégré à la scène rouennaise, Thomas travail avec des figures de la ville, principalement Gene Clarkville (Dogs, Roadrunner,…). Mais, il travaille aussi d’autres acteurs bien connus du monde de la chanson, Yvan Ackerman (L’Affaire Louis Trio, les Blérots de R .A.V.E.L.).
Et après Vincent Delerm (un rouennais) sur le premier album, c’est avec Odelaf que Thomas Breinert propose un nouveau titre « La vie d’Artistes ».
Enregistrer un album en trio avec un piano, une guitare et une trompette, aucun jazzman n’avait songé à le faire et à utiliser cette formule instrumentale si particulière ! Le pianiste et compositeur Thierry Maillard a eu cette idée lumineuse et a osé se lancer dans cette aventure musicale singulière et risquée. A la base, l’idée première était simple, elle consistait à réaliser une musique que l’on pourrait qualifier de « jazz de chambre » sans assise rythmique. Se passer d’une contrebasse et d’une batterie, afin de suggérer le swing d’une manière différente : un swing souterrain, doublé d’un groove invisible, mais perceptible !
La deuxième idée était de convoquer des amis intimes, des musiciens proches de lui, des aventuriers virtuoses qui aiment prendre des risques et à qui rien ne fait peur. Le guitariste basque Sylvain Luc et le trompettiste varois Stéphane Belmondo furent choisis sans aucune hésitation, car c’est avec eux et avec personne d’autre que le francilien Thierry Maillard voulait réaliser ce projet.
La troisième idée lumineuse de Thierry Maillard consistait à ce que chaque membre du trio apporte des compositions et participe ainsi pleinement à l’élaboration de la musique. Bien qu’il ait écrit plus de la moitié des morceaux de ce répertoire et produit l’album sur son label Ilona Records, Thierry Maillard, instigateur de ce projet, paraît être le leader naturel de ce trio hors du commun. Et pourtant, à l’écoute de cet album atypique, il n’en est rien, tant la musique est fluide et cohérente d’un morceau à l’autre et l’investissement des musiciens tel, que personne ne tire particulièrement son épingle du jeu ou ne se met en avant.
Une rumeur circule dans les cercles de pouvoir. Elle concerne un épais dossier intitulé Le Rapport Chinois. On dit que sa lecture rend fou. Pour certains, ce rapport à quelque chose à voir avec les cartels de la drogue. Pour d’autres il s’agit du manifeste d’un complot mondial. Quelques-uns en parlent comme d’un texte visionnaire. On s’accorde en tout cas sur l’identité de son rédacteur : Tugdual Laugier. Mais là-aussi le mystère reste entier… Est-ce le nom d’un imposteur surdoué, d’un prophète ou d’un parfait imbécile ? Quand la société des Hommes devient une farce, la vérité a besoin d’un bouffon. Le premier roman de Pierre Darkanian est une corde tendue par-dessus l’absurdité du monde moderne. On y danse, trébuche et se redresse derrière Tugdual, aussi inoubliable que Falstaff ou Ignatius Reilly, d’un abime à l’autre, d’un rire féroce vers une troublante mélancolie.
INTERVIEW DE PIERRE DARKANIAN aux Ecrivains chez Gonzague 2021
De son adolescence où s’imposent ses talents d’imitateur à ses premiers pas sur les planches, qui mèneront aux plus savoureuses aventures et à la réalisation heureuse de son seul en scène, Antoine Duléry partage tout. Entre autres figures sensibles et attachantes, les ombres inspirantes de Louis Jouvet et de Gérard Philipe s’entremêlent aux flamboyances d’un Belmondo et d’un Dujardin, ainsi qu’aux amitiés bienveillantes nouées au fil de sa carrière… Avec ferveur, gaieté, tendresse et simplicité, Antoine Duléry nous plonge dans son univers personnel et artistique et raconte ses plus belles rencontres, ses anecdotes souvent très drôles, ses émotions et ses profondes passions car, dit-il, » admirer aura été l’affaire de toute ma vie « . Imitacteur, c’est l’histoire d’un homme qui se raconte en racontant les autres.
INTERVIEW D’ANTOINE DULERY aux Ecrivains chez Gonzague 2021
Dans cette interview Antoine Dulery évoque jean-Paul Belmondo, cette entrevue a été réalisée avant le décès de Jean-Paul Belmondo
Maurice est un écrivain à succès. Mais voilà qu’à quarante ans, il ne ressent plus rien. Plus rien pour sa compagne Isabelle, plus rien pour ses livres. Alors qu’il tente de sauver une dernière fois son couple, soudain, elle apparaît. Elle, Ambroisie. Égérie du Tout-Paris, ancien mannequin à succès, d’une beauté saisissante, elle parle bien, elle sait tout. Ambroisie est un tremblement dans sa vie. L’auteur se retrouve alors entraîné dans des vernissages mondains, porte des chemises de créateur : il disparaît peu à peu dans l’étreinte de cette femme, à la fois sublime et inquiétante. Sous la lumière des réverbères parisiens, Maurice délaisse ses livres pour vivre sa romance qu’il ne saurait écrire.À mesure que les verres de champagne se vident, que les sourires s’effacent et que les additions astronomiques s’accumulent, Maurice, Bel-Ami malgré lui, perd pied. Noyé dans ce faste, perdu dans ce Paris trop amoureux, il en a oublié l’écriture.
À travers cette histoire d’emprise et de fascination, Line Papin signe un roman obsédant et hanté par cette question : peut-on encore tomber amoureux et se perdre pour une femme qui n’est pas son genre ?
INTERVIEW DE LINE PAPIN Aux Ecrivains chez Gonzague 2021
«Je me suis laissée prendre, comme une fille facile.» Ainsi parle Iris avant de se donner la mort. C’est un choc pour l’ensemble du lycée mais surtout pour Emma, Tom et leurs amis. Conscients d’avoir mal agi, ils tiennent à mieux comprendre ce qui s’est passé et à défendre la mémoire d’Iris.
Gilles Paris plonge le lecteur dans ce roman choral dans le quotidien de jeunes adolescents, lycéens. Un univers entre quête d’identité, violence et harcèlement. Le suicide d’Iris, leur camarade, après son viol par son beau-père, une descente aux enfers à laquelle ils se sentent tous un peu coupable sert de trame à ce récit. Les fêtes avec l’alcool ou la drogue pour oublier, se griser et s’échapper de ce monde dans lequel ils ne se reconnaissent pas, l’absence des adultes, l’absence tout court et l’envie de vivre à fond sa jeunesse, entres amours de passages et amours pour toujours entraîne ces jeunes dans le tourbillon de la vie avec ses risques, ses bonheurs et l’Insouciance de ne pas être sérieux quand on à 17 ans.
Comme dans chacun de ses romans, Gilles Paris amène le lecteur à s’interroger sur notre société et à réfléchir comment l’aborder, l’améliorer…
Gilles PARIS emprunte le langage de ces adolescents qui peut être aussi à la fois une barrière entre adultes et jeunes, mais aussi une manière pour eux de se protéger.
Créé en 1990, le Festival International de l’Illusion et de la Prestidigitation « Les Mandrakes d’Or » est devenu le rendez-vous annuel des plus grands professionnels de l’art magique.
Les meilleurs illusionnistes du moment ont toujours répondu présents. De tous les coins de la planète, ils accourent pour participer à la fête de la magie et recevoir la distinction suprême :
Cette année , Sabine Van Diemen, Aaron Crow, Fabien Olicard, Vincent C, Winston Fuenmayor, Léo Brière, Giorda, Darcy Oake