ORIANNE AYMARD « AU COEUR DE L’EVEREST » -LA QUÊTE D’UNE FEMME AU SOMMET Mareuil Éditions

Dans Au coeur de l’Everest : la quête d’une femme au sommet, Orianne Aymard nous offre un récit captivant de son ascension sur le toit du monde.

Plus qu’une simple histoire vers le plus haut sommet, ce livre est celui d’un voyage intérieur, né d’un rêve forgé au Tibet près de vingt ans plus tôt, et presque anéanti par un accident cérébral dévastateur que subira l’auteur, peu de temps après. 

Confrontée à des dangers mortels comme une chute de séracs et une grave blessure à la frontière de la zone de la mort, à près de 8 000 mètres, Orianne témoigne de la force de l’esprit sur le corps. Elle nous donne un aperçu des ressources inestimables, tant psychologiques que spirituelles, qui lui ont permis de surmonter l’inimaginable. 

À travers cette épopée, l’Everest se révèle être plus qu’une montagne à gravir, mais un symbole sacré de dépassement de soi, un sanctuaire où chaque pas vers le sommet est un pas vers une meilleure connaissance de soi. Au coeur de l’Everest constitue une véritable source d’inspiration pour quiconque aspire à dépasser ses limites et à trouver sa propre voie au sommet.

INTERVIEW D’ORIANNE AYMARD

 

NATHALIE COHEN « L’OR DE JÉRUSALEM » Éditions Flammarion

Une enquête de Marcus Alexander

Judée – an 66, Marcus, officier déserteur des cohortes de Rome, s’est enfui en Galilée avec son fils, Alexander, et met tout en œuvre pour que la femme qu’il aime, Gaïa, vestale et mère secrète de leur enfant, les rejoigne. Ensemble ils espèrent couler des jours paisibles loin du tyrannique Néron.
Mais l’Histoire les rattrape. Rome déclare officiellement la guerre aux Juifs après que la révolte de Galilée a gagné Jérusalem, puis toute la Judée. Alexander est enlevé et alors que Marcus se lance sur les traces de son fils, il découvre peu à peu l’objet de la guerre des Romains : il s’agit de s’emparer du Temple et, avec lui, de tout l’or de Jérusalem.
Dans le sillage d’Un fauve dans Rome, Nathalie Cohen nous plonge, avec ce nouveau roman, entre fresque historique et enquête, dans le désastre d’une civilisation en proie à des dangers toujours actuels.
INTERVIEW DE NATHALIE COHEN

SYLVIE LE BIHAN « L’AMI LOUIS » Éditions Denoël

« Tu vois, Albert et moi, on ne s’est pas connus, on s’est reconnus. Il m’a sauvé… car il est arrivé dans ma vie à un moment où je croyais le bonheur impossible. »

En 1976, Élisabeth Daguin est engagée par Bernard Pivot pour préparer une émission d’Apostrophes sur Albert Camus. Ses recherches la mènent au grand ami du Nobel de littérature : Louis Guilloux, le fameux auteur du Sang noir, esprit libre, compagnon d’une génération d’écrivains, prix Renaudot 1949 et qui vit désormais à Saint-Brieuc, oublié de tous.
Arrivée en Bretagne, Élisabeth rencontre un homme réservé qui se méfie des journalistes. Au fil de leurs échanges, elle découvre le don de « l’ami Louis » pour l’empathie et la fraternité. Sa sagesse offrira à Élisabeth la clé pour se réconcilier avec son passé. À son tour, elle l’aidera à retrouver un amour perdu.
Magnifique histoire d’amitié, ce roman est aussi une traversée du XXe siècle littéraire, de Paris à Saint-Brieuc, Londres et Venises, et un hommage vibrant aux « petites gens », à la classe populaire dont Camus et Guilloux étaient les fidèles enfants.

INTERVIEW DE SYLVIE LE BIHAN