Nina Papa est née au Brésil, dans un village près de Rio, elle est
installée en France depuis un moment, et vit à Nice. Elle s’est faite
une solide réputation sur la côte d’azur en chantant sa bossa-nova,
à la fois sensuelle et énergique, dans tous les clubs de la région.
Il était temps aujourd’hui que la talentueuse Nina Papa réalise enfi n
un deuxième album sous son nom (après un premier disque en
hommage à Jobim), un album plus orienté vers le jazz, avec une
production soignée, un casting de choix, et des invités prestigieux.
Elle s’est tout d’abord entourée de ses proches, avec qui elle joue
régulièrement sur scène, la pianiste, compositrice, et arrangeuse
Béatrice Alunni, le contrebassiste Marc Peillon, et le batteur Cédric
Le Donne qui a convoqué son père Franck aux percussions sur quelques titres. Un autre batteur ami, Alain Ruard, remplace Cédric Le Donne sur deux chansons. Afi n de réaliser un projet différent de ce qu’elle produit sur scène, elle avait envie de la présence d’un instrument à vent qui souffl e en contre-chant à ses côtés, comme le saxophone de Lester Young qui caressait avec tendresse les mots de Billie Holiday. Au moment où Nina Papa avait calé ses
dates d’enregistrement au Studio 26 à Antibes, le saxophoniste alto Baptiste Herbin jouait dans la région. Les belles choses sont parfois simples, il a juste suffi t que Nina le contacte et que Baptiste, grand amoureux du Brésil et des musiques Brésiliennes, accepte sur le champ. •••
BRUNO FULIGNI « LES AFFREUX DE L’HISTOIRE » ED FIRST (Interview)
Le premier volume de la collection « Historissimo » !
Durs envers les faibles, souples devant les puissants dont ils convoitent la place, prêts à tous les reniements pour avancer et dépourvus de la plus élémentaire dignité, les affreux de l’histoire ont bien des points communs.
Ceux que l’on trouvera dans ces pages furent soldats comme César Borgia et Saint-Arnaud, magistrats comme Fouquier-Tinville, policiers comme l’inspecteur Bonny ou Lavrenti Beria, voire prêtres comme l’évêque Cauchon, l’abbé Dubois ou le pasteur gauchiste Jim Jones.
Qu’importe la défroque ou la justification idéologique, tous profitèrent des faiblesses de leurs semblables pour les réduire à un état de servitude et d’avilissement extrêmes. Corrompus, cyniques et débauchés : voici les pires crapules de l’humanité, de l’Antiquité à nos jours.
INTERVIEW DE BRUNO FULIGNI
EVELYNE DRESS « PAS D’AMOUR SANS AMOUR » ED GLYPHE. ( Interview)
Eva, célibataire de quarante ans, n’a pas fait l’amour depuis trois ans. Elle est belle, dynamique, sportive, branchée, mais les hommes se montrent quelquefois si décevants…
Réactiver ne va pas être facile, car, pour elle, « pas d’amour sans amour ».
Une comédie de mœurs drôle et décontractée, clin d’œil aux années quatre-vingt-dix.
« Lorsque j’écrivais le scénario de Pas d’amour sans amour, je me sentais frustrée de ne pouvoir parler de la génération qui a lutté pour son indépendance sexuelle, sociale, intellectuelle.
Je suis heureuse de pouvoir avec le roman entrer dans le vif du sujet. »
BRUNO FULIGNI /BRUNO LEANDRI « LES GUERRES STUPIDES DE L HISTOIRE » ED LES ARENES (Interview de Bruno Fuligni)
Toutes les guerres sont stupides, bien sûr, mais certaines le sont plus que d’autres. De mémoire d’homme, on s’est déclaré la guerre pour une vache, un cochon ou des crabes. Des batailles meurtrières ont été livrées pour un seau de bois, un panier de pommes, des gâteaux impayés, une oreille, des taxes sur le whisky, voire des déjections d’oiseaux de mer. Les Anglais ont attaqué Zanzibar, les Iroquois l’Allemagne, l’Allemagne le Liberia, et l’armée australienne fut mise en échec par des troupeaux d’émeus ; le Salvador bombarda le Honduras pour un match de football et la Suisse envahit le Liechtenstein par erreur…
Bruno Fuligni et Bruno Léandri sont entrés en campagne pour raconter les guerres les plus particulièrement stupides de l’histoire universelle. Puisse un jour le rappel de tant d’inepties sanglantes calmer de futures velléités belliqueuses !
INTERVIEW DE BRUNO FULIGNI