Le théâtre et le cinéma ne sont pas ses seules passions. Ce fou d’Elvis et des Doors a fondé le « Kalfon Roc Chaud » et « Black Minestrone », collaborant avec Bob Marley, les New York Dolls, Serge Gainsbourg…
A quatre fois vingt ans, Jean-Pierre Kalfon ne se prend toujours pas au sérieux : il signe des souvenirs filousophiques d’un humour et d’une vivacité réjouissants !
INTERVIEW DE JEAN-PIERRE KALFON
Il a traversé un demi-siècle de cinéma français, tournant avec Godard, Barbet Schroeder, Rivette ou encore Lelouch, Truffaut et Chabrol. Après des débuts au théâtre, Jean-Pierre Kalfon a fait le choix d’un cinéma exigeant et éclectique, loin des sentiers battus.
Pourtant, rien ne le destinait a une carrière aussi détonante : il a été enfant de chœur, ses parents n’avaient ni télévision ni tourne- disques. Adolescent, il fugue pour découvrir les caves du Quartier Latin : Le Tabou, Le Caveau de la Huchette, Les Trois Mailletz…
Bientôt naît son goût pour la scène : il sera le premier a repérer l’inoubliable Pierre Clementi. Nombreux sont ceux dont il croisera la route : Pierre Brasseur, Jacques Brel, Annie Girardot, Romain Gary, Alain Delon, Lauren Bacall… A la télévision, on le verra dans des téléfilms et séries a succès (Maigret, Navarro, La Riviere Esperance, Mafiosa…)
Le théâtre et le cinéma ne sont pas ses seules passions. Ce fou d’Elvis et des Doors a fondé le « Kalfon Roc Chaud » et « Black Minestrone », collaborant avec Bob Marley, les New York Dolls, Serge Gainsbourg…
A quatre fois vingt ans, Jean-Pierre Kalfon ne se prend toujours pas au sérieux : il signe des souvenirs filousophiques d’un humour et d’une vivacité réjouissants !