Sandy LR se raconte , un parcours de vie pas ordinaire qui la mène d’ Honfleur à Montmartre. Les galères d’une vie qui bascule après un premier amour qui se termine mal. Mais un enfant qui lui donnerala force de s’en sortir. Des rêves, Sandy en a toujours eu et avec la conviction que si on croit à ses rêves, tout est possible. La preuve dans ce livre et dans son histoire qui ne fait que commencer.
Préface de Fabienne Thibault
« Chère Sandy Tu n’ignores pas la tendresse que tu m’inspires, ni l’affection que je te porte; aussi ai-je fait le choix, pour ouvrir ton récit, de t’écrire une lettre en guise de préface. J’ai choisi de m’adresser à toi, plutôt qu’aux lecteurs. J’espère que celui-ci et celle-ci ne m’en tiendront pas rigueur ; j’en suis même persuadée. Il ou elle en comprendra très bien la raison, et cela au fil des chapitres, et en progressant dans ton histoire : celle d’une amie, d’une petite sœur, d’une jeune mère courage ; en découvrant au fil des pages l’itinéraire d’une artiste attachante, vibrante, qui est loin d’avoir achevé d’écrire le livre de sa vie. Ta vie ne fait que commencer et elle sera belle, je te le dis ma chérie.
Je te sais inquiète de l’accueil que recevra « La Fille entre les Ponts » ; inquiète, parce que s’il est un trait de caractère qui soit éloigné de ta nature profonde, c’est bien la prétention. Aussi permets-moi de te rassurer : Sandy, tu as eu raison de te confier à nous… Tu as eu raison parce que ton récit fait du bien. Il nous aide à continuer de croire en l’importance de la persévérance, de la force d’âme, dans la construction d’une existence. Il nous aide à ne jamais oublier qu’il existe une bonne étoile, qu’il ne faut à aucun moment, même les plus difficiles, céder à la peur et au découragement ; croire en soi et faire confiance malgré les mauvais coups du sort, voilà ce à quoi « La Fille entre les Ponts » nous invite.
Sandy, je ne dévoilerai pas les détails et péripéties qui émaillent le parcours de cette Fille entre les Ponts… Je ne nommerai personne et pourtant, ils me sont familiers ceux qui t’entourent maintenant, ceux pour lesquels tu avances, en souriant, en chantant, ceux pour lesquels tu te bats et qui te rendent heureuse ; je laisse aux lecteurs le plaisir de les découvrir, d’aller à leur rencontre.
En tout cas, chère petite Montmartroise d’adoption, sache que le Sacré-Coeur veille sur toi et les tiens… la mélodie du cœur qui bat au fil de ta voix s’accroche à notre oreille. Alors, bon vent à la Fille entre les Ponts.
Fabienne Thibeault