Quel secret se cache derrière le plus célèbre linceul de l’Histoire ?
1291. Dans une Palestine en proie au chaos, un jeune noble disparaît mystérieusement. Pour son malheur, son visage ressemble étonnamment à celui du Christ des images pieuses. Des trafiquants de reliques vont lui faire subir les supplices de la Passion.
Depuis l’Ecosse, sa sœur se lance à sa recherche. Une folle course-poursuite s’engage, qui la mènera en Haute-Galilée, puis à Bagdad et dans l’empire mongol du grand Khan de Perse.
Comment arracher le prisonnier des mains de ses ravisseurs ? Et comment empêcher que le linge qui a recouvert son corps ne passe frauduleusement pour le Saint Suaire du Christ ?
Après le succès de la trilogie Ernetti, Roland Portiche signe un roman d’aventures unique en son genre, érudit et débordant d’imagination
Sous le terme « Gueules cassées », deux entités juridiquement dixtinctes, mènent des missions complémentaires en plein Harmonie :
* Une association L’Union des Blessés de la Face et de la Tête (UBFT) *Une fondation reconnue d’utilité publique : La Fondation des « Gueules Cassées.
L’UNION DES BLESSÉS DE LA FACE ET DE LA TÊTE
En 1921, trois hommes : Albert JUGON, Bienaimé JOURDAIN et le Colonel PICOT fondent une association pour venir en aide à leurs camarades atrocement défigurés au cours de la première guerre mondiale.
Ils choisissent de s’appeler « Les Gueules Cassées », terme rude et provocant pour le grand public mais affectueux pour eux-mêmes. Ils se dotent d’une devise porteuse de promesse et d’espérance « Sourire quand même ».
Les « Gueules Cassées » apportent aujourd’hui, dans un esprit de fraternité et d’entraide, une assistance morale et matérielle aux militaires blessés au combat, en OPEX, policiers, gendarmes et pompiers blessés en service, victimes civiles d’attentats, atteints de blessures au visage ou à la tête.
L’association remplit également un rôle d’entretien de la Mémoire des sacrifices consentis pour le pays.
L’Association tire ses ressources de son actionnariat dans La Française des Jeux dont elle est le second actionnaire, après l’Etat. En effet, les « Gueules Cassées » eurent l’idée géniale, dans les années 30, de créer les fameux dixièmes de la Loterie Nationale, puis furent en 1976 les promoteurs du LOTO en France.
Bande dessinée en réalité augmentée
Interview d’Olivier Roussel Directeur général Union des Blessés de la Face et de la Tête Fondation des « Gueules Cassées »
“Véritable star au Cameroun, récompensée par de nombreux prix et première femme humoriste du pays, Selavie dit tout haut ce qu’elle pense, sur les africains comme européens, la vie… Et traite sous le prisme de l’humour, de toutes les questions sociétales ! Abolit les frontières et les préjugés. Éducation, politique, polygamie etc. Vous serez servis à souhait.
Apres une longue pause, elle revient enfin sur scène avec son énergie folle et son humour décapant, dans ce nouveau One Woman Show, inédit jamais communautariste. #parcequetoutçaselavie
Comment vivre pleinement sans renoncer aux souvenirs ?
Lorsqu’il débarque en Espagne, où son père est censé avoir refait sa vie, Gontran découvre un veuf esseulé, écrasé par le poids des souvenirs et du chagrin. Le fils décide d’aider le père. Mais comment le soutenir et combler le vide laissé par la femme qui rendait à l’un et à l’autre la vie si extraordinaire ?
Chroniqueur sur Europe 1, secrétaire général du Guide du Routard, Gavin’s Clemente Ruiz est aussi romancier. Après le succès de La divine comédie de nos vies, il signe un roman tendre et sensible sur la perte et la renaissance.
Après Révolte d’une femme libre, ses nouvelles de jeunesse, et La dérive bleutée, nouvelles du siècle, D’Ombre et de lumière nous livre des nouvelles du bord. Tandis que la vie ne se déroule pas toujours comme prévu, que les couples se font et se défont, les personnages de Sarah Mostrel continuent de rêver, d’espérer, de résister. Événements inattendus, rebondissements… Le bonheur n’est peut-être pas loin, avec son lot de surprises…
Dans D’Ombre et de lumière, troisième volet de sa trilogie parue aux éditions L’Echappée Belle, Sarah Mostrel se penche sur l’expérience amoureuse à travers l’histoire de plusieurs couples. « Je vais t’aider, ma Rose, tu rencontreras ton Zazou ! », promet Odile à sa sœur. « Tenter, oser, recommencer… » Rose se laissera-t-elle porter par la vague du bonheur ?
Les fans de Supertramp seront heureux que leur groupe préféré soit à l’honneur d’un projet aussi novateur et ambitieux, ainsi que, plus généralement, les amoureux des mélodies pop anglaises dont Supertamp s’est inspiré (The Beatles en tête). Les fans des claviéristes de jazz-rock seront séduits par l’utilisation pertinente des moog à la fois d’un point de vue mélodique, harmonique et rythmique.
En concert au New Morning Jeudi 4 mai 2023 à 20h30 Ouverture des portes à 19h30
Frères en musique et en vibrations, Adrien Moignard et Diego Imbert viennent à point nommé questionner l’ombre tutélaire de Django Reinhardt à l’occasion du soixante-dizième anniversaire de sa disparition. A travers douze songs dus à la plume du maître, brillamment revisités par nos duettistes, Diego et Adrien portent très haut l’art de la conversation, fidèles à l’esprit de leur inspirateur comme à la flamme éternelle du jazz. Les deux complices ont évidemment quelques raisons de voir leurs deux noms associés ici à l’affiche. Pour s’être frottés individuellement à tout un tas de personnalités musicales et avoir expérimenté ensemble d’insignes situations où ils formaient à eux seuls l’ossature de l’orchestre (en trio avec le violoniste Didier Lockwood, la chanteuse Anne Ducros, ou plus récemment l’accordéoniste Richard Galliano), ils collectionnent titres et atouts. Si l’un peut évidemment s’honorer d’avoir été l’un des piliers de la grande épopée du Gipsy Project de Biréli Lagrène, l’autre est aujourd’hui reconnu comme un représentant majeur de l’école de guitare jazz française issue de Django Reinhardt.
Sunset : 60, rue des Lombards 75001 PARIS – Tél. : 01 40 26 46 60
M° Châtelet – Les Halles
De la richesse de ces parcours comme de cette large expérience commune, émerge notamment une assise rythmique singulièrement naturelle et une maîtrise du tempo à toute épreuve. Car, il faut le souligner, Diego et Adrien ont fait le choix de s’exprimer sans le soutien d’une guitare d’accompagnement, assumant à eux seuls le rythme et l’harmonie, démarche peu courante dans l’univers djangoïste. « Le duo a cette particularité de nous sortir de notre fonction », avoue Diego. Par la pertinence de la sélection (balayant toute la carrière du célèbre Manouche, sans en occulter aucun recoin stratégique), tout autant que par l’acuité des relectures – finement ciselées –, leur proposition artistique s’impose avec force, via un protocole sans cesse renouvelé, adapté au matériau et à l’instant : walking bass au groove imparable (Lentement Mademoiselle), contrepoint (Douce Ambiance), jeu aux doigts (Pêche à la mouche), à l’unisson, en question/réponse… Ne sont exclus ni les thèmes les plus aventureux (Flèche d’Or), ni Concert sortie d’album les grands classiques (Manoir de mes rêves, Belleville, Nuages), ni les grandes odes au lyrisme bouleversant et aux attendus harmoniques constamment réinventés (Tears, Anouman, Troublant Boléro…). Dans Manoir de mes rêves, Adrien reprend note à note, comme une seconde mélodie, l’un des plus inoubliables chorus de Django, celui de 1953, à valeur prémonitoire, enregistré quelque temps avant sa mort. Une belle manière de saluer la mémoire de ce génie de la six-cordes doublé d’un maître de l’improvisation. Le choix par Adrien de la corde nylon pour la guitare se justifie donc pleinement, profondeur et longueur de note tutoyant plus avant l’intime, pour mieux caresser au passage la rondeur galbée et l’embonpoint majestueux de la « grand-mère » (i.e. la contrebasse). Ombre indissociable de la trame, Django aurait-il toujours le dernier mot ? « C’est toujours une émotion pour moi de jouer la musique de Django Reinhardt », conclut notre guitariste. Pour clore – gracieusement –, et relancer, le débat.
La Corse est une terre de chant et de guitare. Une île de beauté musicale. C’est ce que démontrait Fanou Torracinta dans le premier volume de son projet Gipsy Guitar from Corsica, sorti en 2021. Dans ce deuxième volet, il l’illustre à travers un nouveau panel de couleurs corses. La griffe de Fanou ? Une manière de faire sonner et chanter la guitare, de mêler les thèmes virtuoses aux chants insulaires. Un swing diablement corsé. Natif d’un village de Balagne, Fanou a baigné dans deux univers, la musique de Django Reinhardt et le répertoire traditionnel de son île, en écoutant les chanteurs et compositeurs locaux, dont les célèbres Frères Vincenti et Antoine Ciosi, accompagnés par des guitaristes de jazz, tels Matelot Ferré et les frères Briaval. Il n’a eu de cesse d’explorer ces univers au rythme des valses, celles des Corses et des Manouches, deux peuples ancrés dans leur héritage culturel. De Django, le jeune compositeur goûte particulièrement sa période orchestrale avec le Quintette du Hot Club de France ou les sessions romaines de 1949-50, marquées par les dialogues de la guitare du maître manouche, du violon de Stéphane Grappelli et du piano de Gianni Safred. Toutes ces voix acoustiques, à l’unisson, qui confèrent une assise à leurs thèmes vagabonds. Polyphonies instrumentales. Amoureux de la tradition, le minot tourne en 2012 avec le gardien du temple, Tchavolo Schmitt, tout en rêvant des libertés de Biréli Lagrène. Il a dix- sept ans et fonde dans la foulée le Corsican Trio, qui deviendra un quartet. Brassens avait raison : le temps ne fait rien à l’affaire : quand on est bon, on est bon !
Puis au temps des croisades le verbe s’est fait Chanson d’amour courtois sous la plume de Guillaume, 9ème Duc d’Aquitaine et premier troubadour de l’Histoire. 900 ans plus tard, Jean-Baptiste, auteur-compositeur féru de Ferré (Léo) et Olivier, auteur-compositeur aguerri à Berry (Chuck) se retrouvent autour de leur passion pour le bouzouki irlandais.
Gøljan est né de leur envie de transmettre fidèlement des chansons presque millénaires en langue d’oïl ou en latin ainsi que des réinterprétations en français moderne, en anglais, en alsacien, mais aussi des compositions originales.
Du XIIème siècle à nos jours rien n’a changé : les chansons parlent toujours des malheurs et des joies du moment. Si l’inspiration reste avant tout médiévale, Gøljan ne se refuse aucune authenticité ni aucune fantaisie créative, qu’elle soit satirique, espiègle ou franchement paillarde…pour le plus grand plaisir des gentes dames et des fieffés malandrins, des ribaudes éhontées et des gentils damoiseaux.
Des compositions originales et des reprises dont « Pauvre Ruteboeuf (Ruteboeuf/Léo Ferré) « Norvegian Wood »(John Lennon-Paul Mc Cartney), »Sic transit Gloria Munsi » Danyel Gérard),…