HUGHES JACQUET « VERSAILLES, OUTILS ET MATERIAUX » Acte Sud/Château de versailles (INTERVIEW)

« On dirait que tout a commencé à Versailles. Selon l’intonation, on le dirait comme le début d’une fable ou comme une découverte renouvelée. Il n’empêche… Tout y a sans doute commencé en effet par l’immensité d’un chantier né de nulle part ou plutôt de l’ambition d’un roi. Un chiffre suffit à dire cette démesure : plus de 30 000 ouvriers attachés en même temps aux travaux colossaux commandés par Louis XIV.
Et puis, des artisans, des artistes qui feront du château de Versailles, dans tous les domaines, un modèle. A travers eux, c’est à une visite inédite à Versailles que nous invite ce livre. Terre et pierre, métaux et bois, verre et tissus… la visite est singulière qui nous entraîne de pays en province à la recherche des meilleurs fournisseurs, qui nous fait côtoyer marchands et confréries, manufactures et académies, apprécier un devis, suivre les caprices d’une commande ou les aléas de la mode ».
Catherine Pégard

INTERVIEW DE HUGHES JACQUET

JEAN MARIE ROUART: « LES AVENTURIERS DU POUVOIR » collection « Bouquin » chez Robert Laffont (Interview)

Je ne peux me défendre d’une attraction coupable pour les grands hommes de l’Histoire. J’ai toujours noué avec eux des complicités secrètes. C’est ainsi que sont nés les trois essais biographiques réunis ici : Napoléon ou la DestinéeBernis, le cardinal des plaisirsMorny, un voluptueux au pouvoir. Je les ai abordés moins en historien qu’en écrivain qui tente de percer leurs motivations et le mystère de leur destinée.
J’ai adjoint à ces biographies des  » Portraits acides  » parfois un peu vifs, certains même acerbes, d’hommes politiques contemporains que j’ai été amené à fréquenter. Je raconte ainsi mes promenades archilittéraires et un peu irréelles avec François Mitterrand dans la Nièvre et à Paris ; le roman de mes relations barbelées avec un Giscard d’Estaing vexé par le discours trop peu flatteur avec lequel je le recevais à l’Académie. Je ne ménage pas non plus mes critiques envers François Hollande,  » le Machiavel de Tulle « ,  » qui a occupé plus de place qu’il ne laissera de vide « . Je brosse aussi les portraits de quelques grands fauves : Chirac  » le Paganini de la palinodie « , Sarkozy  » l’homme qui en voulait trop « , Villepin  » l’archange des bas-fonds « , Fillon  » le sourcilleux « , Macron  » le président hors-sol  » ou Charles Pasqua  » le pas blanc-bleu, mais bleu-blanc-rouge « .
Que je les aie aimés, admirés ou jugés néfastes, tous les grands acteurs de notre théâtre politique que j’ai passés au crible m’ont passionné comme autant de personnages de notre roman national si riche et si contradictoire.
J.-M. R.

INTERVIEW DE JEAN MARIE ROUART

MICHEL ORSO : Rencontre sur la tournée Âge tendre, la tournée des idoles 2020

MICHEL ORSO est venu de Corse à Paris pour faire carrière dans la chanson auprès de divers orchestres.

Il se fait alors remarquer auprès de grands noms de la chanson, notamment Eddy Mitchell, Adamo et Enrico Macias avec lesquels il s’engage dans une tournée dans le midi.

La reconnaissance du public arrive en 1966 avec la sortie de son 45 tours intitulé « Angélique »

Suivront d’autres titres, mais la carrière de Michel Orso se fera plus discrète et il continuera de se produire dans les cabarets ou sur différentes scènes un peu à l’écart du show biz.

En 2006, Michel Alguay le producteur de la tournée Âge tendre et tête de bois l’invite à reprendre la scène aux côtés d’une pléiade d’artistes Avec le succès de cette première saison, le chanteur rempile pour les années suivantes. Son dynamisme en fera un peu la mascotte de la tournée.

Parallèlement Michel Orso se produit en chantant les chansons de l’artiste qu’il aime le plus : Gilbert Bécaud. Il a dernièrement sorti un album «  Méditerranée » en hommage à Tino Rossi dont il interprète les succès.