Charles Aznavour, Jacques Pessis, voisins depuis 30 ans, complices et amis depuis 40 ans. Une écriture à quatre mains pour une biographie précise, joyeuse et déjà nostalgique. Un texte qu’il aurait aimé terminer.
Le livre ultime de et sur Aznavour. À lire comme un roman.
Du dix-neuvième siècle à aujourd’hui, Vidocq est porteur d’un destin qui interpelle, celui d’un fils de boulanger devenu bagnard, d’un bagnard devenu policier. Sa vie est ponctuée d’aventures qui rendent son existence bien plus riches que la plupart de celles que nous connaissons et que nous vivons. Son destin nous parle toujours, à nous qui vivons un siècle et demi après lui et qui aimons autant les histoires de voyous, de lascars, de braquages, que les enquêtes policières. Nous sommes fascinés par Vidocq bagnard et par Vidocq policier, comme nous le sommes par Jean Gabin en commissaire Maigret et par Jean Gabin en Pacha, ou par Lino Ventura en inspecteur dans Garde à vue et par Lino Ventura en Tonton flingueur.
Des scientifiques qui testent l’effet d’une sonate de Mozart sur la productivité des vaches, des médecins qui utilisent la musique pour résoudre les problèmes d’éjaculation précoce… Ces anecdotes dressent un portrait réducteur des recherches médicales qui entendent exploiter les vertus thérapeutiques de la musique. Les bienfaits de la musique sont pourtant réels, et la sagesse populaire ne s’y trompe pas : que la musique ait de grands effets sur l’humeur et sur l’état général de chacun est une croyance répandue. Pour autant, s’il semble raisonnable d’aller chercher réconfort dans la musique, il paraît plus hasardeux de confier son bien-être à certaines pseudosciences édictées sur le compte de musiques bienfaisantes.
Comment en suis-je venue à écrire ? Je revois ma mère. Je l’entends. Elle avait un don inouï pour les histoires. Courtes ou longues, vraies ou fausses. C’était sa façon de conjurer la souffrance, la vie difficile. Elle m’a ainsi ouvert ces portes invisibles qui transfigurent le monde et font jaillir l’espoir. Dès ma naissance, pourtant, elle m’avait rejetée. Les circonstances. Et un secret qui faillit me détruire.
Le théâtre et le cinéma ne sont pas ses seules passions. Ce fou d’Elvis et des Doors a fondé le « Kalfon Roc Chaud » et « Black Minestrone », collaborant avec Bob Marley, les New York Dolls, Serge Gainsbourg…
A quatre fois vingt ans, Jean-Pierre Kalfon ne se prend toujours pas au sérieux : il signe des souvenirs filousophiques d’un humour et d’une vivacité réjouissants !
Nicolas Rey livre un roman épistolaire où, au moyen de ses lettres, il tente tout pour reconquérir Joséphine, son grand chagrin d’amour découvert dans « Dos au mur ».
Le titre, « Lettres à Joséphine » m’a intrigué. Dès la première lettre, le narrateur pose ce qui va être l’histoire de ce livre ou le drame de sa vie : un amour inconditionnel, un amour dévorant, tellement fort qu’il apparait angoissant au lecteur, un amour électrochoc ! Il ne suffira que de quelques échanges pour découvrir que la réciprocité n’est pas au rendez-vous.Continuer la lecture de « NICOLAS REY « LETTRES A JOSEPHINE » Editions « Au Diable Vauvert » »