POP/FOLK : BARTON HARTSHORN « not what I expected to hope for » nouvel album le 22.01.21

Barton Hartshorn a grandi dans le village anglais dont il porte le nom et il a passé son adolescence à écouter des chanteurs folk dans les clubs des environs. Le storytelling de ces chansons a eu une grande influence sur sa propre musique, à laquelle il a rajouté le son provenant de la scène pop-rock du Royaume-Uni. Après trois albums en tant que leader du groupe Dictafone, dont le dernier album, Home a été mixé par Ken Scott (Beatles, Bowie, Supertramp, Lou Reed…), Barton est retourné à ses racines folk pour son premier album solo «Headquarter café». Mais, c’est pendant une année passée en Australie que les chansons de I died of boredom & came back as me ont commencé à prendre forme. Puisant dans les influences d’artistes de la côte ouest américaine comme Joni Mitchell, Jackson Brown et Steely Dan, les chansons ont pris une couleur plus Americana. …

Après le succès de sa sortie européenne, I died of boredom & came back as me a commencé une nouvelle vie de l’autre côté de l’Atlantique où il est sorti en juin 2019 sur le label BFE (Sony Red). Dans la foulée, Barton a fait 2 tournées aux États-Unis en 2019. Muni de nouvelles chansons écrites pendant ses tournées américaines, Barton est retourné en studio avec son groupe et a enregistré Not what I expected to hope for, un retour à ses racines de pop anglaise mais avec son goût habituel pour le storytelling. Si cet album était un film, la liste des thèmes et des personnages qui peuplent ses chansons serait longue : l’oubli de ce qui est important quand on devient adulte («Listen for a change»), la jalousie et le regret dans une petite ville d’Angleterre («I got away but you’re here to stay»), un garçon reçoit une lettre de l’homme qu’il va devenir («Message back to you»),un jeune homme attend sa petite amie au coin d’une rue de New York en un jour tragique de 1904 (If you were coming you’d be here by now»), un récit d’un délit d’adolescent («Forbidden days»), on pourrait continuer, mais c’est sans doute mieux si Barton vous raconte par lui-même…