Ce bordelais a comme passion la musique, le Bleues, Le Folk, Le Rock et la Country…mais pas que…Les tubes anglo-saxonsdes sixties puis le rock anglais des années 70 font son éducation musicale.
JJ Cale est son maître absolu et il lui rend hommage régulièrement dans sa musique. Fan aussi des Stones, de Rod Stewart, Fleetwood Mac, James Taylor, Neil Young…Que du très très bon !
Après quelques baloches, il crée son groupe et monte sur scène en 2003 et les concerts s’enchainent. Avec Erika, couple a la ville comme sur la scène, Entre la country, le rock, le blues et le folk, Orville Grant trace sa route tranquillement sur les scènes du sud-ouest et ailleurs…
En 2009, direction Music City, Nashville et ses studios pour un album « Tow lovers in Nashville » sorte de point d’orgue » à leur destin musical.
Orville s’amuse avec ses guitares, il en possède pas mal dans son studio, chacune ayant à la fois une histoire et un son bien a elle. Orville maitrise aussi la technique du numérique avec talent, ce qui lui permet de faire des arrangements de haute voltige.
Un passage par les « cigar box », ces drôles d’instruments fait avec des boites à cigare dont il fait un album Orville and the Woodbox plébiscité par la critique et en particulier par Blues Magazine.
Ce projet de Nuits Bleues est une plage musicale supplémentaire qu’il nous offre.
Orville Grant est de ces artistes qui ne se prennent pas au sérieux mais vivent leurs passions avec sérieux. Une belle rencontre.
Je vous invite à lire aussi l’excellente entrevue avec Gilles Blampain sur le site Blues Again